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Alexandra

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La créatrice d' Atelier LeksArt

 

Je souhaite porter l'art et l'élégance du papier au service de la mode et de la poésie.

Avec minutie et raffinement, je plie, façonne et verni le papier pour donner vie à des créations uniques.

L'atelier LeksArt est empreint de ma passion pour le Japon.

Ayant vécu "à la japonaise" je suis immergée par sa culture, j'ai étudié son esthétisme et sa mode traditionnels.

Dans mon atelier, je conçois pour vous des bijoux uniques qui mêlent la finesse et la délicatesse du style japonais.

Ayant un père styliste modéliste, j’ai toujours été dans le milieu de la création et de la mode, j'ai donc souhaité apprendre toutes les techniques de montage auprès de maîtres de la confection.

Mes créations sortent tout droit de mon imagination qui se nourrit d’estampe, de tradition, d’histoires et de légendes japonaises.

Je commence toujours par un dessin puis par le papier qui va ouvrir les idées d’assemblage.


Au Japon, le contenant est aussi important que le contenu et les emballages sont toujours très soignés, c'est pourquoi je propose un emballage précieux et singulier pour chacune de mes créations.

J'apporte un soin tout particulier à la réalisation de mes modèles et me montre réactive dans la préparation et l’expédition des commandes

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Atelier LeksArt
Une créatrice au service d’une poésie japonaise.
Quand le raffinement de la tradition rejoint la délicatesse de la matière...

 

 

 

 

 Comment sont fabriqués les bijoux  ?

Chaque matière est choisie et sélectionnée avec soin, le papiers WASHI provenant directement du Japon.

Chaque breloque, qu’elle soit en origami ou en découpe de papiers, est vernie et vitrifiée 3 fois. Ce qui demande beaucoup de minutie pour ne pas assouplir le papier. Puis, il faut compter 24 h de séchage entre chaque couche de verni. Les créations sont toujours en série très limitée ou en pièce unique. À travers mes créations je vous partage beaucoup de poésies et m’inspire du bouddhisme et du shintoïsme qui se basent sur le culte des ancêtres, la vénération des Dieux et le respect de la nature. Je m’installe dans l'atelier, je m’immerge dans cette culture et ses traditions et j'imagine des ornements.

Je partage également des collections de bijoux que j'ai entièrement dessinées et dont le montage est confié à des ateliers qui façonnent l'acier inoxydable.

 

 Qu’est-ce que le papier Washi utilisé pour la création des breloques ?

C’est un papier fabriqué artisanalement au Japon depuis le VIIème siècle. Il est fabriqué le plus souvent à partir de l’écorce de mûrier. Il existe plus de quatre cents sortes de papier Washi, aux motifs et couleurs variées, certaines sont même classés au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. Le papier Washi est léger, flexible et solide.

Les graphismes utilisés sur ce papier sont les mêmes que sur les tissus de kimono.

    

 La légende des mille grues

Le 18 février 2020, J'ai atteint les mille grues, 1006 exactement…

« La légende des mille grues est une légende originaire du Japon, où l’origami est très pratiqué, qui raconte que si l’on plie mille grues en papier, on peut voir son vœu de santé, longévité, d’amour ou de bonheur exaucé.

Cette légende est aujourd’hui associée à une jeune fille japonaise : Sadako Sasaki.

Enfant, elle fut exposée au rayonnement du bombardement atomique d’Hiroshima et atteinte de leucémie. Ayant entendu la légende, elle décida de plier mille grues espérant que les dieux, une fois les mille grues pliées, lui permettraient de guérir. Elle confectionna au total 644 grues de papier. Sadako Sasaki mourut le 25 octobre 1955 à l’âge de douze ans. Elle avait plié ses grues avec tout le papier qu’elle pouvait trouver, jusqu’aux étiquettes de ses flacons de médicament.

L’histoire de Sadako eut un profond impact sur ses amis et sa classe. Pour soutenir son action et honorer sa mémoire, ses compagnons de classe plièrent le nombre restant de grues en papier et elle fut enterrée avec une guirlande de mille grues.

Aujourd’hui, dans le Parc de la Paix d’Hiroshima, se dresse une statue dédiée à la mémoire Sadako et placée sur un piédestal en granite ; elle tient une grue en or dans ses bras ouverts. À sa base se trouve cette inscription : Ceci est notre cri. Ceci est notre prière. Pour construire la paix dans le monde Tous les ans, des enfants du monde entier plient des grues et les envoient à Hiroshima. Les origamis sont disposés autour de la statue. Grâce à Sadako, la grue en papier est devenue un symbole international de la Paix. Depuis, il est entré dans la tradition de plier mille grues en papier lorsqu’un proche ou bien un ami est gravement malade. Au-delà de la superstition, cet acte procure courage et volonté au malade, qui se sent ainsi entouré. »

 

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